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  7. Covid 19 : ce que j’ai appris de cette crise...
9 commentaires
  • Répondre Benoît 'Mutos' Robin
    • mercredi 27 mai 2020
    • 11 h 47 min

    “Ma conviction profonde est que cela doit rester une liberté individuelle, tout en sachant que celui qui porte un masque est bien protégé de la personne croisée dans la rue qui choisit elle de ne pas en porter, assumant son propre risque !!”

    Je suis désolé, cette phrase m’a choqué : elle est FAUSSE et normalement (blog bien-être et développement personnel), vous auriez dû être au courant de ça. C’est le B.A.-BA.

    Un masque chirurgical ne protège PAS la personne qui le porte, mais bien les AUTRES si cette personne s’avérait être porteuses du virus. Il est conçu pour empêcher les gouttelettes de sortir, pas d’entrer…

    Je porte le masque chirurgical dès que je sors. Certes pas bien par rapport aux consignes officielles : je le redescends sous le menton lorsque je suis loin de tous et le remonte sur la bouche et le nez lorsque j’approche de personnes à moins de 2m. Ma manière de le porter est par contre logique par rapport à son utilité réelle : protéger les autres et ne pas risquer de prendre part à la transmission de la maladie.

    La progression d’une épidémie, c’est sur les statistiques que ça joue. Si assez de gens font attention, le taux de transmission dans la population générale est inférieur à 1 et l’épidémie régresse. Si les gens ne font pas attention, il est supérieur à 1 et l’épidémie progresse. C’est aussi simple que ça…

    Cela ne me rapporte rien de faire attention. Si je vois que la personne d’en face fait attention, nous sommes tous deux protégés. Si je croise de près une personne sans masque, je suis en danger, personnellement, que je porte un masque chirurgical ou pas. Alors je dis bien “FONT ATTENTION” et non pas “SE PROTÈGENT”, car c’est de cela qu’il s’agit : faire attention aux inconnus que l’on croise au hasard, faire en sorte de ne pas être un danger pour eux…

    Si vous vous considérez libres d’être contaminés, vous êtes effectivement libres de ne pas porter de masque FFP2 (enfin, si vous avez les moyens de vous en payer, cela amène plutôt le sujet de la discrimination économique, ce qui est une toute autre question…). Mais ne pas porter de masque chirurgical, par exemple dans un supermarché (et j’en vois…), c’est être libre de CONTAMINER CEUX QUE L’ON CROISE !

    Là, ce n’est pas la liberté qui est en jeu, mais bien la RESPONSABILITÉ.

    Ceci étant dit, je partage à 100% vos 4 enseignements post-COVID… J’aurai pu être laudatif sur cet article, n’eût été cette phrase, qui m’a littéralement mis le poing sur le nez.

    • Répondre Amal Dadolle
      • mercredi 27 mai 2020
      • 13 h 09 min

      Bonjour Benoît et merci pour votre commentaire, j’espère que le coup n’a pas été trop violent !:)))

      Ma phrase portait bien sur le port du masque « dans la rue », cad à l’air libre là où, de l’avis des médecins, le risque de contamination dans l’air est quasi nul.

      En revanche, je vous suis sur les endroits confinés comme les magasins et les transports par exemple.

      Bonne journée,

  • Répondre Bendjelloul Sophie
    • mercredi 27 mai 2020
    • 11 h 49 min

    Bravo pour cet article

  • Répondre Marie
    • mercredi 27 mai 2020
    • 14 h 20 min

    “celui qui porte un masque est bien protégé de la personne croisée dans la rue qui choisit elle de ne pas en porter, assumant son propre risque !!” Non , c’est inexact c’est la personne croisée qui est protégée si vous portez un masque. Ce qui change tout dans ce concept de liberté individuelle. Je pense qu’il faudrait modifier ce paragraphe car cela dévalorise le reste du propos qui est intéressant à nuancer sur le taux de risque de décès pas supérieur à la grippe saisonnière, là j’ai un doute mais je ne suis pas spécialiste donc je n’affirmerais rien. Il y a aussi toutes les personnes qui ne présentaient pas de risques aggravants et qui sont avec des séquelles importantes suite à leur passage en réanimation. Sans être dans la peur, il ne faut pas minimiser non plus et puis… quand on est dans le pourcentage concerné même s’il est petit.. donc je porte un masque pour protéger l’autre et j’aimerais qu’il fasse de même.

    • Répondre Amal Dadolle
      • mercredi 27 mai 2020
      • 15 h 35 min

      Je comprends votre point mais entre “j’aimerais qu’il fasse de même” (votre position) et “je veux qu’il fasse de même” (position extrême de certains), la différence reste la liberté individuelle qui se doit d’être éclairée par une bonne information et de l’éducation..

  • Répondre Marie Pierre Dillenseger
    • mercredi 27 mai 2020
    • 15 h 51 min

    La peur n’est pas bonne conseillere. Merci de le rappeler

  • Répondre Pascale Caminade
    • jeudi 28 mai 2020
    • 10 h 12 min

    Bonjour et merci pour ton analyse chère AMAL.
    Le ou la Covid nous rappelle que notre relation au monde est vitale, j’ai deux envies en ce moment : marcher dans les champs et revoir famille et ami(e)s.
    La peur et la défiance sont, depuis des années, le fond et la forme des JT et infos qui instillent un fiel quotidien. Lavons-nous les mains et le cerveau !
    La responsabilité de chacun est convoquée, y compris celle de protéger les autres, la nature et de veiller sur eux.

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Amal Dadolle

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