Vers une symbiose entre médecine moderne et médecine alternative
On confond trop souvent l’infécondité et l’infertilité. Pourtant il y a une grande différence. L’infécondité suppose en effet comme nous l’apprend le Docteur Didier Delafontaine dans la vidéo ci-dessous, l’incapacité d’avoir un enfant en temps voulu.
Selon les statistiques nous explique-t-il aujourd’hui, près de 15% des couples souffrent d’infécondité.
Fort heureusement l’infécondité dans la plupart des cas ne nécessite pas un traitement, encore moins une intervention médicale (fécondation in vitro par exemple) pour être résolue. Il suffit juste parfois de s’accorder plus de temps et changer certaines habitudes.
L’infertilité encore appelée stérilité suppose en effet l’incapacité de l’un des conjoints de concevoir naturellement un enfant. Il n’existe cependant pas de couples définitivement stériles. Alors qu’il existe des hommes ou des femmes définitivement stériles ou infertiles.
Un exemple : un homme qui n’a pas de spermatozoïdes, ni dans le sperme, ni dans les testicules est stérile, mais le couple peut avoir recourt à la procréation médicalement assistée avec donneur.
Il est important pour un médecin de suivre de près un couple afin d’appréhender dans quel cas se trouve leur difficulté à concevoir et les solutions les mieux adaptées. Les facteurs qui sont à l’origine des difficultés de conception des couples sont multidimensionnels.
L’âge est un facteur aggravant surtout pour la femme. En effet, à partir de 35 ans le nombre d’ovocytes de la femme commence à diminuer à un rythme plus accéléré.
À partir de 40 ans précise le Docteur, l’insuffisance ovarienne s’accroît chez la femme.
À l’âge, il faut ajouter d’autres facteurs liés au mode de vie moderne (pollution, alimentation, hygiène de vie…).
Par exemple, des études scientifiques ont démontré que la femme souffrant d’insuffisance ovarienne mais qui arrête de fumer accroît ses chances de concevoir. Les méthodes que propose la médecine moderne s’avèrent de plus en plus impuissantes face à ces problèmes. Les médecines alternatives quant à elles ont bien des atouts dont elles peuvent se vanter.
Les médecines alternatives ont la cote !
L’avantage incontestable des médecines alternatives est qu’elles considèrent l’homme dans sa globalité, et en particulier dans sa dimension spirituelle.
l’Homme ou la femme dans sa globalité est avant tout un être spirituel . Et le cerveau, siège de l’esprit, est l’organe qui gouverne tous les autres. Un simple blocage psychologique (stress, peur, découragement, antécédent familial, voire généalogique…) peut donc se répercuter sur les organes sexuels et être à la base de l’infécondité. Les médecines alternatives proposent d’aider l’individu à se réconcilier avec lui-même, à rétablir l’équilibre entre ses différents organes.
Le Docteur Didier Delafontaine, suite à un bilan médical classique*, n’hésite d’ailleurs pas à solliciter l’appui de collègues et spécialistes de ces techniques, dontMarie-Pierre Dillenseger experte des Arts chinois, liés au temps et à l’espace, pour apporter des solutions efficaces à ses patients. Et il faut dire qu’il compte beaucoup de succès à son actif parmi des cas qui semblaient désespérés.
*Exploration du sperme, de l’interaction spermaire (test post coïtal), de l’utérus, des trompes, et de l’ovulation est nécessaire.
Illustration : Juliette Meris _Je veux un bébé tout de suite !