Avec la vitamine D, la curcumine, le pigment de la plante du curcuma, est le top des médicaments naturels ! Nous allons voir en quoi, en plus de découvrir le curcuma 185.0, une « super épice » !
Une épice en or
Il n’y a pas que sa couleur jaune, qui rapproche l’épice du précieux métal, ce sont aussi ses propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires qui nous assurent une santé prospère. En plus de renforcer notre système immunitaire, elle réduit les risques cardiaques et de diabètes, et aide à la détoxification de notre foie. En un mot, c’est tout notre système immunitaire qui est boosté. Petit bonus beauté, la curcumine embellit et soigne notre peau !
Mais plus intéressant encore, des études ont révélé que la curcumine agissait aussi à une échelle neurologique. En plus d’aider notre cerveau à créer de nouveaux neurones, la curcumine réduit la formation des plaques amyloïdes ainsi que la formation de fibres à l’intérieur des neurones. Cela ne nous dit pas grand-chose comme ça, mais les médecins savent que ce sont deux facteurs liés à l’apparition de l’Alzheimer.
Guérir du cancer grâce à la curcumine ?
Les oncologues occidentaux se sont toujours étonnés du faible taux de cancer en Inde (10 fois moins) par rapport à l’Europe. Là aussi, la réponse est dans la curcumine ! D’après le professeur Philippe Chollet, oncologue au centre Jean-Perrin de Clermont-Ferrand, la curcumine possède des vertus dites « pro-apoptotiques ». Or, l’apoptose, ce n’est ni plus ni moins qu’un suicide de la cellule cancéreuse. Ainsi la curcumine enlève de notre corps des cellules dangereuses, qui n’auront pas eu le temps d’évoluer en tumeurs.
Toujours à l’hôpital de Clermont-Ferrand, depuis 2013, les chercheurs en cancérologie associent la prise de curcumine aux traitements anti cancers les plus avancés, notamment dans les cas de cancers du sein et de la prostate. Là aussi, la curcumine répond à toutes nos attentes ! En plus d’accroitre l’efficacité des chimiothérapies, elle réduit ses effets indésirables (nausée, diarrhée, perte de poids, etc.) Au vu de ses résultats, on peut penser que la curcumine a encore de beaux jours pour être utilisée dans le traitement des cancers…
Problème : Toutes les curcumines ne se valent pas
Il y a toujours un hic ! Ici, le problème est la richesse en curcumine du curcuma. Or le curcuma des grandes surfaces et autres commerces n’est pas très riche en curcumine. Il faudrait en manger de très grandes quantités pour commencer à bénéficier de ses bienfaits.
Second hic, la curcumine n’est pas facilement assimilable par le corps, elle est rapidement éliminée, ce qui limite donc son efficacité.
Une révolution en Allemagne, la curcumine 185.0
Pour contrer ce problème d’assimilation et d’absorption, des chercheurs de l’université de Stuttgart en Allemagne ont mis au point, en 2014, une technique innovante qui consiste à « encapsuler » la curcumine à l’intérieur de molécules d’acides gras. Cette technique permet de multiplier l’assimilation de la curcumine par notre corps, et donc son efficacité. Cette efficacité serait 185 fois plus forte que celle d’une curcumine lambda, d’où son surnom !
Où s’en procurer ? Du fait de sa découverte récente, c’est difficile d’en trouver. Peu de distributeurs le proposent et beaucoup de pharmaciens et médecins n’en ont pas encore entendu parler. Vous en trouverez pourtant en magasin bio
JE SUIS TRAITE POUR UN CANCER A L’INTESTIN GRRELE.