Il est connu qu’une importante partie de la population française se méfie des vaccins. Ce que l’on sait, en plus, depuis les déboires autour du vaccin AstraZeneca, c’est que cette défiance est loin d’être une exception française.
Elle se retrouve également chez nos voisins, et elle est beaucoup plus profonde qu’on ne le pense puisqu’en 2012, 15 des 29 pays (dont l’Allemagne, l’Autriche, l’Angleterre, la Suisse et le Luxembourg) ont décidé d’arrêter l’obligation vaccinale pour la remplacer par des recommandations.
Comment expliquer cette méfiance bien ancrée et cosmopolite ?
Le Dr Roger Stébenet en livre les raisons dans son ouvrage « L’apport des thérapeutiques alternatives dans le traitement du cancer » publié aux éditions Dangles.
Le problème avec les vaccins n’est pas leur existence. Sans eux, on se retrouverait encore avec des maladies du Moyen-âge type varioles ou polios. Le véritable souci est leur application automatique sans vérifier au préalable si le corps est apte à recevoir le vaccin.
C’est tout l’intérêt de l’homéopathie, défendue par le Dr Stébenet, qui s’emploie à vérifier si le corps, ou plus précisément le terrain (ensemble des forces et faiblesses du corps) est sain ou s’il est déséquilibré par des pollutions diverses et variées provenant du stress à ou de l’environnement (les colorants, les conservateurs, les pesticides, les métaux lourds, le nitrite, le chlore etc.).
Une précaution nécessaire, car un vaccin contenant lui aussi des produits délétères peut être le coup de grâce pour déclencher cancers et maladies auto-immunes. Comme l’a appris par expérience le Dr Stébenet.
Le lien entre vaccins, cancers et maladies graves
Coïncidences
En 1994 et 1995, deux petites patientes de 12 et 13 ans vont marquer la carrière du Dr Stébenet. Toutes les deux développent un cancer du muscle, dans la zone même où elles avaient reçu le vaccin contre l’hépatite B.
Une étrange coïncidence qui interpelle.
D’autant plus que le Dr Stébenet gardait en mémoire des propos du spécialiste d’hématologie et de cancérologie, le professeur Jean Bernard, rapportés par une patiente commune à la fin des années 1970 : « Et surtout madame, pas de vaccins pour votre fils ! ».
Atteint d’une leucémie grave, le garçon était passé par les services de l’éminent professeur qui purent le sauver, alors même que les chances de survie ne dépassaient pas 10 % à l’époque.
Face à ces troublants faits, le Dr Stébenet décide de mener l’enquête dès 1996.
Les conclusions de 20 ans de recherche
Pour démontrer s’il existe bien un lien entre les vaccins et l’émergence de maladies graves, le Dr Stébenet s’est lancé dans une vaste enquête pendant près de 20 ans. Il a recueilli des données auprès de 668 patients sur le temps écoulé entre les premiers signes d’une maladie et la dernière vaccination effectuée.
Et les statistiques sont implacables : plus de 80 % des cancers et maladies graves se sont déclenchés à la suite d’un vaccin pris dans les 12 mois.
« Il ressort de façon claire des statistiques sur les 668 cas présentés que si un vaccin doit avoir un effet délétère, ce sera de préférence dans les six premiers mois après sa réalisation […] La chute à 12,29 % au-delà d'un an laisse à penser que tout effet délétère du vaccin disparait au bout d’un an. »
Tous les détails de cette fastidieuse enquête sont à retrouver sur le site internet du Dr Stébenet.
Toutefois, les vaccins ne sont pas les grands méchants de l’histoire. Ils sont la goutte d’eau qui a renversé un corps déjà fragilisé.
Le vaccin n’est rien, le terrain est tout
L’accumulation de problèmes
C’est la théorie la plus intéressante du Dr Stébenet :
«: justify;">Par exemple, la fillette de 12 ans qui présentait un cancer du muscle suite à sa vaccination contre l’hépatite B venait d’une famille qui avait connu de nombreux antécédents de cancer. Elle avait donc un terrain précancéreux.
De plus, la petite était soumise à une grosse pression psychologique. Or, le stress chronique contribue à affaiblir le système immunitaire. À tel point dans ce cas précis que l’enfant avait développé une mononucléose infectieuse un an avant l’émergence du cancer. Son affection fut traitée par un traitement à base de fer et d’antiasthénique effervescent qui contient du bicarbonate de sodium et de l’aspartam. Des produits susceptibles de favoriser la cancérisation du terrain.
Le vaccin contre l’hépatite B n’est donc pas à l’origine du cancer, mais il a été l’agression de trop qui a permis son déclenchement.
Quelles solutions envisagées ?
Comme on le comprend, c’est la présence de cofacteurs nocifs et antérieurs au vaccin qui vont faire de lui un énième cofacteur, et faire le terreau du cancer (ou d’une autre maladie auto-immune).
Ainsi, pour que le vaccin ne soit plus un risque, il faudrait d’abord s’enquérir de l’état immunitaire de la personne. Cela suppose de vérifier les carences en vitamines et oligo-éléments, l’équilibre acido-basique du corps, en plus de s’assurer que le terrain soit bien équilibré.
Seulement, même si toutes ses précautions sont prises, des cofacteurs inconnus peuvent être présents.
Alors que faire ? «: justify;">L’isothérapique est une technique homéopathique visant améliorer la tolérance du corps à un produit délétère par la prise du même produit dilué et dynamisé. Ce faisant, non seulement elle stimule le système immunitaire face à un produit nocif, mais elle permet aussi de nettoyer le corps des déchets que les vaccins peuvent laisser dans l’organisme, comme les métaux lourds. Tout cela sans avoir une quelconque incidence sur l’efficacité du vaccin.
Pour une politique vaccinale digne du XXIème siècle
Depuis la fin du XIXème siècle, au minimum, les dirigeants Français ont toujours eu une guerre de retard, et le gouvernement actuel, loin d’être aussi original qu’il le pense, en est leur héritier direct. Preuve en est quand il donne autorité aux pharmaciens pour vacciner.
Pour le Dr Stébenet, cette politique vaccinale à tout-va est dangereusement grossière et dépassée. A la place, il propose une politique préventive et pertinente, capable de rassurer les plus réfractaires.
« Il faudrait revoir les procédures de vaccination pour les faire passer du XXème au XXIème siècle. […] Au lieu d'alléguer une absence de danger à laquelle peu de personnes croient, il s'agirait de définir les conditions mettant réellement à l'abri du danger des vaccinations, en respectant trois étapes :
S'assurer d'abord que le système immunitaire se porte bien. C’est-à-dire qu’il ne comporte aucune carence.
Vérifier que la personne à vacciner ne présente pas de cofacteurs identifiés pouvant favoriser un cancer ou une maladie auto-immune.
Prévoir la détoxication par l'isothérapique du vaccin injecté. »
Rappelons que le vaccin est un progrès, une des plus belles découvertes de l'humanité, qui sauve beaucoup plus qu'il ne tue !
Source : Dr Roger Stébenet, L’apport des thérapeutiques alternatives dans le traitement du cancer, éditions Dangles, 2021
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